La régulation de ces émotions est un processus, même s’il est lié à la maturation cérébrale, qui nécessite un apprentissage. Cette régulation tend à développer en parallèle et conjointement les fonctions exécutives et notamment la flexibilité et l’inhibition. D’ailleurs selon McClelland et Cameron, plus un élève arrive à auto-réguler ses émotions, plus ses performances sont importantes.
Voici donc quelques pages et articles à lire qui traitent de ce lien entre émotion et apprentissage.