Historique de la dyslexie

On peut considérer que la première étude est réalisée par Broca lorsqu’il publie les résultats de l’autopsie d’un patient aphasique (« sans parole ») en 1861. Il décrit alors avec précision le siège de la lésion cérébrale en cause. C’est ce que l’on appelle l’aire de Broca.
Elle est impliquée dans l’aspect moteur du langage, dans la production et dans l’articulation des mots. Elle est le siège de la programmation du mouvement nécessaire à la prononciation. Elle est considérée comme une aire qui traite des informations dont le but est la coordination des mouvements impliqués dans le langage parlé.

Une dizaine d’année plus tard, Carl Wesnicke, toujours avec un patient aphasique met en évidence une autre zone : l’aire de Wesnicke. Elle est le siège de la compréhension orale et écrite. Cette aire constitue une aire de stockage possible de la représentation auditive des mots.
Le langage est une fonction latéralisée du cerveau :
–    hémisphère gauche pour les droitiers
–    hémisphère droit pour les gauchers.
Sa proximité avec le cortex moteur fait que l’on peut associer des fonctions motrices et des fonctions du langage comme parler avec le langage des signes.
L’aire de Wesnicke est connectée à l’aire de Broca.

historique de la dyslexie broca wernicke

Aire de Broca et de Wernicke – Image Wikipédia

La dyslexie est un terme inventé en 1887 par Rudolf Berlin en Allemagne, pour décrire l’incapacité de lire. Le mot Dyslexie vient du grec, Dys est un préfixe péjoratif qui exprime une idée de difficulté ou de malheur et lexie signifie : le mot, la langue écrite.

En 1891, Jules Dejerine décrit pour la première fois un syndrome de dysconnexion interhémisphérique. Il s’agit en fait d’adultes ayant su lire mais ayant perdu cette capacité après une lésion cérébrale : dyslexie acquise. Dix ans auparavant Oswald Berkhan parle alors de « cécité verbale » face à des jeunes enfants qui ont des difficultés en lecture et en écriture sans autre altération des autres capacités.

En 1896, W Pringle Morgan lui parlera de « cécité verbale congénitale »

Hinshelwood, en 1917, suppose que ce trouble est lié à un défaut des fonctions cérébrales reliées à la mémoire visuelle des mots. Il fait la description d’enfants intelligents mais incapables d’apprendre à lire.
On « découvre » que ce n’est pas une question d’intelligence !

On remarque alors que l’on s’oriente vers un problème visuel, plus subtil qu’une myopie mais qui était sensé expliqué surtout les nombreuses inversions de lettres.

Il faut savoir qu’à cette époque, on pense que la lecture est un processus visuel. En 1925, Samuel T. Orton, décrit la confusion visuelle de lettre proche, il parle de « signes tordus »( strephosymbolia) et écrit que cette difficulté n’est pas lié qu’à un problème visuel.  Il estime que ce trouve est lié à une asymétrie du cerveau et pense alors qu’il est causé parce qu’un hémisphère ne domine pas suffisamment l’autre.
Il a été aussi influencé par les travaux d’ Helen Keller (sourde, aveugle et muette et qui parvint à obtenir un diplôme universitaire) et Grace Fernald (qui faisait figure de précurseur dans le recherche sur l’enseignement du rattrapage en lecture) dans sa recherche d’un moyen d’enseigner la lecture en utilisant à la fois les fonctions cérébrales du « cerveau gauche » et du « cerveau droit »Orton a ensuite travaillé avec la psychologue Anna Gillingham à l’établissement d’un modèle éducatif approprié, ce qui aboutira aux premières méthodes d’éducation multi-sensorielle.

Le renouveau des études sur la dyslexie est lié à cette époque (les années 70) à l’émergence des sciences cognitives avec Piaget et des neurosciences.
Dans ces années là, les travaux d’Isabelle Liberman établissent alors que la lecture est avant tout la mise en relation du langage écrit avec le langage oral.

En 1985, Richard Olson s’interroge sur le fait que des familles touchées par la dyslexie peuvent avoir plusieurs membres dyslexiques. Il procède alors à une comparaison avec des vrais et faux jumeaux. Il y découvre une certaine forme d’aptitude génétique à la lecture. La différence entre vrais et faux jumeaux semble au contraire disparaître lorsque la comparaison porte sur les aptitudes lexicales. L’étude suggère donc une origine génétique.
En 1985, Vogler réalise une probabilité du risque d’ascendance dyslexique chez un enfant dyslexique. L’étude donne les résultats suivants :
Pour un garçon → 40% de chances d’avoir un père dyslexique, 35% d’avoir une mère dyslexique
Pour une fille → 17% de chances d’avoir un père dyslexique et autant d’avoir une mère dyslexique.

En 1988, Petersen montre qu’il y a une différence d’activation entre la lecture à haute voix d’un mot écrit et fournir un verbe associé à ce mot. Il est le premier à mettre en évidence grâce au PET Scan (Le PET Scan mesure le taux de glucose dans les cellules du cerveau durant leur activité) les zones impliquées : région frontale inférieure gauche, aire temporale postérieure gauche.
C’est dans le début des années 1990 que la piste génétique se clarifie.

Norman Geschwind remarque que ceux qui se sont intéressés à la cause génétique devraient aussi rechercher également d’autres troubles dans les antécédents familiaux. Les patients dyslexiques parlent alors de migraines, d’allergie, de problèmes thyroïdiens, et montre un lien inattendu entre gaucherie et ces pathologies. Il a l’un des plus novateurs dans l’étude de la dyslexie car il a été le premier à parler de cause neuro-biologique.

Plusieurs chromosomes sont alors soupçonnés :
–    1983 : Smith : gène dominant sur l’autosome 15
–    1993 : Rabin : Implication de la région Rh du chromosome 1 dans une translocation avec le rand bras du chromosome 2
–    1994 (1196) Cardon et Grigorenko : implication d’une région du bras court de l’autosome 6
D’autres gènes semblent impliqués sur les chromosomes 6, 3, 15,… On parle alors de maladie pluri factorielle (polychromosomique) ce qui explique la diversité des tableaux cliniques.

C’est le 7 Mai 1997 que la dyslexie de développement est entrée dans la classification des maladies génétiques.

La France quand à elle est restée profondément éloignée de la recherche internationale concernant la dyslexie. Le terme dyslexie a probablement été utilisé pour la première fois lors du  premier congrès international de la Pyschiatrie en 1937 par Ombredane.
Elle s’est débattue dans des débats
•    dans les courants orthophonistes (courant neuropsycholinguistique) et les courants neurobiologiques : ils permettent néanmoins la diffusion des recherches portant sur la dyslexie.
•    Avec ceux qui pensait que la dyslexie était un trouble de la personnalité
•    Avec ceux qui pensaient que la dyslexie n’existait pas.
•    Avec ceux qui pensaient que la dyslexie était due à des facteurs sociaux ou éducatifs.
Selon Paula Tallah et Michael Merzenich, en 1996, la dyslexie viendrait d’un déficit auditif touchant la perception des sons : phonèmes courts et dans la traitement d’informations sensorielles dont l’échelle du temps serait d’environ une dizaine de millisecondes. L’analyse des sons serait donc plus lente (environ 500 millisecondes pour un dyslexique contre 40 pour un non dyslexique).

Cette analyse serait donc cruciale dans la différenciation des phonèmes et soumet alors l’hypothèse que ce déficit auditif serait à la base du déficit phonologique.
Ils remarquent alors qu’un entraînement peut améliorer la vitesse de traitement de ces informations. Des chercheurs conçoivent donc une série de jeux vidéo dont l’objectif est de répondre à des commandes verbales et d’en identifier correctement l’ordre. Ils pensent alors que cet entraînement aidera à résoudre les problèmes de langage parlé, les problèmes de lecture et la dyslexie.

Cette hypothèse est contestée en 2003 par Studdert-Kennedy et Mody qui remarquent que finalement les enfants ayant des problèmes de langage ont un taux de réussite similaire aux autres enfants quand les épreuves comportent des stimulis non verbaux. Une très faible majorité de dyslexique souffre donc de problèmes auditifs. La piste auditive est alors écartée.
Ils remettent alors en avant un déficit phonologique, on parle bien alors de capacités de catégorisation des sons en classes phonologiques (perception catégorielle) ; autrement dit que des sons qui appartiennent à la même catégorie phonémique (même famille de sons comme par exemple de/ba) sont moins bien discriminés par les dyslexiques que ceux qui appartiennent à des catégories différentes.

Werker puis Tees en 1994 met en évidence que la segmentation et la catégorisation de la parole en unités sonores sont influencées par notre langue maternelle. Jusqu’à l’âge de 9-10 mois, il aurait une élasticité qui serait perdu par la suite.

1996, Allison et Puce mettent en avant que la lecture fait appel à des régions cérébrales bien précises (région occipitale temporelle gauche pour les mots). EEG (Eléctro Encephlo Gramme) et MEG (Magneto Encephalo Graphie) permettent d’avoir des mesures plus précises et donne même alors l’estimation sur la latence d’activation.

A partir de 1997, Michel Habib intervient sur plusieurs études.
Une équipe de neurologie-neuropsychologie du CHU de Marseille et un laboratoire Parole et Langage reprennent ensemble les principes décrits par Paula Tallah et Michael Merzenich sur la théorie du déficit attentionnel des troubles du langage (le cerveau ne serait pas capable de traiter des informations auditives brèves et en succession rapides). Sur un groupe d’enfants présentant diverses pathologies du langage oral et écrit un entraînement quotidien sur plusieurs semaines a été réalisé. Les résultats sont très satisfaisants voire spectaculaires et l’on pense alors avoir peut être trouvé un espoir de traitement efficace. Malheureusement, sur l’aspect unique dyslexie, il apparaît encore une fois que le langage oral ne constitue pas un élément crucial comme peut l’être la conscience phonologique.
S’en suit une seconde étude réalisée par Habib, portant sur 12 enfants (6 en groupe placebo, 6 en groupe expérimentale). Les deux groupes sont homogènes scolairement, intellectuellement et en conscience phonologique. Le groupe expérimental est soumis à un entraînement quotidien d’une heure par jour pendant 5 semaines. Les résultats montrent une amélioration immédiate mais également après étude et toujours un mois après la réalisation de celle-ci. On parle de 20% d’amélioration de la conscience phonologique sur le groupe expérimental.
Une autre étude s’enchaîne à celle-ci s’appuyant sur le concours d’orthophoniste. L’idée est de ramenée l’entraînement réalisé dans l’étude précèdent à 15 minutes, entraînement réalisé lors de séances orthophoniques (15 min par séance) puis par le parent de façon hebdomadaire. Au bout de 6 semaines, 15 % d’amélioration.
Pour les enfants entre 7 et 12 ans, l’amélioration est significative tandis que chez les 6/7 ans elle demeure plus fluctuante. Cette étude démontre que 15 minutes par semaine suffisent pour avoir une amélioration, que même chez les plus jeunes (moins de 6 ans) il y a un bénéfice non négligeable et également qu’un quart des enfants n’améliorent pas leur performance sans que l’on note une plus grande sévérité du trouble
Immédiatement (2002), on s’interroge alors sur l’efficacité de l’entraînement des tâches de conscience. Une étude de JOT (Jugement d’Ordre Temporel) est alors réalisée sur un groupe d’enfants dyslexiques le plus homogène possible. Les résultats qui en ressortent sont les suivants :
1°) Les dyslexiques savent moins bien reproduire une succession de deux consonnes.
2°) Le fait de mettre une voyelle entre ces deux consonnes n’améliorent pas réellement leur performance
3°) le fait de ralentir artificiellement la durée des deux consonnes ramène leur performance à celles d’enfants non dyslexiques.
La conclusion est que le cerveau des dyslexiques demande plus de temps pour traiter l’information et qu’en rallongeant la durée de cette information (parole ralentie), on peut réduire ses difficultés.
Il s’avère donc qu’il y aurait un effet bénéfique de entraînement temporo-phonologique. Plus les enfants sont déficitaires à la tâche du JOT (Jugement d’Ordre Temporel), plus l’entraînement intensif temporo-phonologique est bénéfique.

Entre temps en 2000, Ishaï dont les recherches portent sur les mécanismes mise en jeu lors de l’analyse d’un visage humain, parle d’activation de l’aire occipito temporel lors de la reconnaissance de mot écrit.

En 2004, intéressés par les travaux de M. Alves da Silva, sur le « syndrome postural » (rebaptisé par la suite « syndrome sensori-proprioceptif » ou que l’on appelle encore posturologie de Lisbonne), le docteur Patrick Quercia (service d’ophtalmologie du CHU de Dijon) et le neurophysiologiste Fabrice Robichon (université de Bourgogne, Dijon) ont mené une étude afin d’évaluer la présence d’anomalies de la proprioception dans une population d’enfants atteints de dyslexie. En 2006, les résultats de cette étude sont loin d’être à la hauteur des espérances mises dans cette étude et révèlent même que le déficit cognitif de certains enfants se trouve aggravé sous traitement postural. Aucune étude scientifique ne démontre à ce jour de lien entre dyslexie (DD) et syndrome sensori-proprioceptif. Personne ne semble nier que la dyslexie (DD) pourrait être lié à un problème proprioperceptif puisque l’on parle même de troubles multi-sensoriels. La proprioperception est utilisée pour les sportifs par exemple. Le fait que cette méthode soit ouvertement critiquée tient qu’elle parle ouvertement de guérison de la dyslexie (voire même d’autres choses).

En 2005, Caroll, Maughan, Goodman et Metzer mettent en évidence les relations entre les difficultés de lecture et les problèmes émotionnels/comportementaux. Une étude de Fluss, Bertrand, Ziegler et Billard réalisée sur des enfants de Ce1 de la ville de Paris (voir Développement de Juin 2009) confirme l’existence d’une relation entre inattention et difficulté de lecture et précise l’effet négatif des déficits attentionnels sur l’alphabétisation précoce. Cette étude met également en évidence deux choses :
– La conscience phonologique est le prédicateur de la lecture
– La variance de la conscience phonologique trouve sa source dans des facteurs économiques et dans les troubles du comportement (déficit attentionnel).

En 2007, Ramus fait le point en précisant que (extrait du monde de l’éducation, mars 2006):
1.    l’enseignement systématique du déchiffrage est plus efficace que son enseignement non systématique ou absent;
2.    l’enseignement systématique du déchiffrage est plus efficace lorsqu’il démarre précocement que lorsqu’il démarre après le début de l’apprentissage de la lecture;
3.    les enfants qui suivent un enseignement systématique du déchiffrage obtiennent de meilleurs résultats que les autres, non seulement en lecture de mot, mais également en compréhension de texte (contrairement aux idées reçues sur les méfaits du déchiffrage qui conduirait à ânonner sans comprendre) ;
4.    l’enseignement systématique du déchiffrage est particulièrement supérieur aux autres méthodes pour les enfants à risque de difficultés d’apprentissage de la lecture, soit du fait de faiblesses en langage oral, soit du fait d’un milieu socio-culturel défavorisé;
5.    du moment que le déchiffrage est enseigné systématiquement, il importe peu que l’approche soit plutôt analytique (du mot ou de la syllabe vers le phonème) ou synthétique (du phonème vers la syllabe et le mot).
Il ajoute également qu’à cela doit être pris en compte également la syntaxe, la compréhension du texte autrement dit le sens, l’écriture…

Stanislas Dehaene, psychologue cognitif et neuroscientifique publie en 2007 « Les neurones de la lecture ». Il commence par expliquer que l’action de lire est récente et que notre cerveau n’a pas subi de modification pour acquérir cette capacité. Il procède donc à une forme de recyclage pour s’adapter à cette compétence. Puis, il met en avant que l’aspect visuel est impliqué dans la lecture (la lecture du mot se fait en saccades oculaires autrement dit il y a une variance suivant notre empan visuel). Il explique aussi que l’écriture en miroir n’est pas un signe de dyslexie mais une conséquence naturelle de l’organisation des aires visuelles (liés à l’asymétrie normale du cerveau humain).
Il explique suivant les connaissances actuelles comment notre cerveau apprend à lire et surtout explique clairement que les voies phonologiques et lexicales agissent ensemble lors de la lecture, et non pas séparément.
Il parle également de la dyslexie en faisant la différence entre les vraies dyslexies qui sont d’ordre neurologique et les « fausses » dyslexies qui sont liés à des méthodes globales ou semi-globales inappropriés pour apprendre à lire. Les mauvais lecteurs ne sont donc pas tous dyslexiques.
On sait aujourd’hui que la dyslexie proviendrait d’une désorganisation du lobe temporal et d’une altération de ses connectivités.

Il y a encore d’autres noms d’autres études, il est difficile de toutes les citées. L’important était de faire un tour d’horizon et de comprendre que :
–    la dyslexie une maladie neurologique avec des régions cérébrales identifiées
–    la dyslexie ne dépend pas du niveau d’intelligence
–    la dyslexie est héréditaire, elle est d’ordre génétique
–    l’aspect visuel joue un rôle dans la dyslexie
–    la base de l’apprentissage de la lecture doit être la phonologie
–    l’on ne guérit pas de la dyslexie
–    l’enseignement par le déchiffrage donne de bien meilleurs résultats pour les normo-lecteurs et qu’il devrait être obligatoire en cas de troubles du langage oral et écrit.

Pour mieux comprendre les difficultés rencontrées par les dyslexiques, continuez votre lecture.

Références :

Les neurones de la lecture, Stanislas Dehaene, Août 2007, Odile Jacob
Le cerveau singulier, Michel Habib, Solal, 2000.
L’homme neuronal, Jean-Pierre Changeux, Hachette lecture, 2000
Cerveau gauche, cerveau droit – Dally P Pringer, Georg Deutsh
Effet d’un entraînement phonologique utilisant de la parole temporellement modifiée chez des enfants souffrant de dyslexie phonologique – Michel Habib – XXIVèmes Journées d’Étude sur la Parole, Nancy – 2002
Rapport de l’Inserm, Dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, bilans des données scientifiques,
Les dyslexies, Anne van Hout, Françoise Estienne, 2001
Le langage des enfants normaux, Claude Chevrie-Muller, Juan Narbona, 2007
Neuropsychologie humaine, Xavier Seron,Jean-Claude Baron,Marc Jeannerod,
Troubles du langage, Jean-Adolphe Ronda l,Xavier Seron, 2000
Des gènes au comportement, introduction à la génétique comportementale, par Robert Plomin
Dyslexie, dysorthographie, dyscalculie : Bilan des données scientifiques – Inserm
Acquisition de la lecture et de l’écriture et dyslexie : revue de la littérature – Liliane Sprenger-Charolles, Willy Serniclaes –  Revue française de linguistique appliquée 2003
Trouble sur l’origine de la dyslexie – Patrick Philipon – larecherche.fr 
Laurent Cohen : « La lecture a sa zone cérébrale » – larecherche.fr 
La dyslexie résulterait d’un défaut de connexion cérébrale – Marie-Laure Théodule – larecherche.fr 
Apprentissage de la lecture et dyslexie – G. Dehaene-Lambertz – Sciences cognitives – Médecine & enfance
4es Journées scientifiques de l’école d’orthophonie de Lyon, « L’écrit : modèles, apprentissage, troubles » 2002
DYSLEXIE la cognition en désordre ? – Franck Ramus – La recherche 2002
La dyslexie repensée – L. Sprenger-Charolles – Sciences humaines
Posturologie et dyslexie : une mise au point s’impose – Fabrice ROBICHON
https://www.apedys.org/
http://www.parents-toujours.info/Reseau-de-Sante-Pediatrique-NormanDys/
https://www.medialexie.com/fr-ch/dyslexie.html
Wikipédia : Carl_Wernicke / Aire_de_Wernicke / Aire_de_Broca / Jules_Dejerine / Dyslexie / Helen Keller

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